Ensemble, nous proposons aux plus motivés de continuer des études supérieures hors du cadre scolaire local. Ceux-ci reçoivent alors un pécule annuel de 150 euros et doivent contribuer eux-mêmes à leurs frais scolaires, par exemple, en travaillant à temps partiel. Chaque année, une dizaine de jeunes terminent des études de techniciens, infirmier(e)s, enseignant(e)s, fonctionnaires… des situations convoitées par ces familles villageoises très pauvres qui nous sont reconnaissantes d’avoir permis à leurs enfants d’accéder à de tels emplois.